Pampa à perte de vue. Hormis chasser le goupil ou la perdrix, rien à faire, rien à voir. Routes rectilignes à perte de vue. Nous éprouvons l’immensité de ce pays…
Nous décidons de le traverser au plus vite et roulons matin et nuit pour avaler les 1200 kilomètres qui nous séparent de l’Atlantique.
Notre camion est en pleine forme, nous avançons bon train.
Heureusement que la « route de goudron » existe, plus confortable que la tôle ondulée.. courage à vos petites fourmis somnolentes ou bavardes « quand est-ce qu’on arrive?? » M-Xine
Ca change du col Bayard !